Recherche par mot-clé: LITTÉRATURE NORVEGIENNE
126 résultats. Page 7 sur 7.
Lu par : Martine Moinat
Durée : 7h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14190
Résumé:Tora, petite rouquine née des amours de sa mère avec un soldat allemand pendant l'Occupation, grandit dans un village norvégien fruste et austère. Régulièrement violentée par son beau-père infirme, elle trouve auprès de sa tante Rakel la tendresse et la force qui l'aideront à devenir, peu à peu, adulte. Violent, charnel, magnifiquement écrit, ce premier volet de la trilogie de Tora, qui concilie l'art du la narration et le sens des personnages, a été couronné par le prix du Conseil nordique. Mais c'est surtout une oeuvre universelle, qui pose sur l'enfance, l'adolescence, l'éveil de la sensualité, la condition féminine, un regard plein de justesse et de retenue. Les deux autres volumes de ce grand succès de la littérature contemporaine norvégienne.
Lu par : Martine Moinat
Durée : 8h. 21min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14193
Résumé:Dernier volume de la trilogie, La Véranda aveugle et La Chambre silencieuse -, ce roman s'ouvre sur une scène d'enterrement. Tora a avorté du bébé que lui a fait Henrik, son beau-père. Elle a dissimulé ce petit "oisillon" sous un monceau de pierres, espérant enfouir en même temps la culpabilité et la honte que lui inspire son propre corps. Son seul rayon d'espoir réside dans l'énergie qu'est capable de lui transmettre sa tante Rakel, pourtant à l'agonie, qui lui enseigne comment tenir tête au monde, à l'adversité et aux dangers. Clôturant une histoire riche en événements autant qu'en réflexions sur la conquête de soi, ce beau livre orageux, tumultueux, fait enfin se lever pour l'héroïne un vent d'espérance qui pourrait bien n'être qu'une brise passagère.
Lu par : Anne-Lise Zambelli-Blanc
Durée : 8h. 6min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12329
Résumé:J'avais besoin d'une alternative à l'angoisse et au sang. Ainsi, je les regardais. Je reniflais leur odeur. Me tenais près d'elles chaque fois que je le pouvais. En faisais l'objet de ma convoitise pendant que je galopais sur les champs couverts de gelée blanche. Cela m'aidait à tenir le reste à distance. Les canons. Les incendiés. Les corps d'hommes maltraités. Ceux qui revenaient du front le soir, ceux qui avaient encore la faculté de penser, étaient comme moi, ils fumaient et pinçaient les filles, buvaient et dormaient. Quelquefois, ils chantaient. Il y en avait un qui avait amené un vieil orgue de Barbarie. Les femmes étaient comme la musique. Terriblement présentes. Physiquement. Et cependant inaccessibles. Présentes pour nous provoquer ou nous émouvoir. Un état d'âme. Jamais permanent. Elles finissaient toujours par quitter la pièce. Les livres, et les rêves par contre, on pouvait les emporter avec soi, Même jusqu'ici. Dans l'enfer. Je ne sais pas s'il m'est arrivé de rêver depuis que j'ai tué Karna.
Lu par : Anne-Lise Zambelli-Blanc
Durée : 6h. 20min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12286
Résumé:Suite de la trilogie "Le Livre de Dina", ce premier volume dépeint la chronique peu ordinaire de Benjamin, son fils.
Lu par : Geneviève Birbaumer
Durée : 18h. 11min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 7647
Résumé:" Qu'est-ce qu'il y a de plus important dans la vie ? Tous les hommes ont évidemment besoin de nourriture. Et aussi d'amour et de tendresse. Mais il y a autre chose dont nous avons tous besoin : c'est de savoir qui nous sommes et pourquoi nous vivons. "
Lu par : Marguerite Delacrétaz
Durée : 2h. 51min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 6875
Résumé:Quand leur mère se trouve enceinte, Egil et Margit décident qu'elle attend un garçon qu'ils baptisent Livind et associent aussitôt à la vie familiale. Et lorsque la jeune femme, hantée par d'obscures menaces, demande à son mari de l'emmener au loin, Livind participe à l'aventure comme s'il était déjà né. Tout au long de ce voyage qui tourne mal et finit de manière tragique, la mère, superbe dans sa grossesse et indifférente aux ressources qui s'épuisent, apparaîtra tel l'arbre de santal, solide et nourricier.